Pas un seul de ses titres dans le Dictionnaire des œuvres de Frickx et Trousson. Nulle trace dans le fort volume Littératures belges de langue française signé Berg et Halen ni dans l’histoire collective de la littérature belge francophone parue chez Fayard en 2003. L’absence d’Albert t’Serstevens (1886-1974) dans les ouvrages de références est douloureuse, surtout à qui vient d’achever, éberlué, Un apostolat et cherche à en connaître davantage sur son auteur. Alors, autant retourner aux fondamentaux et le dénicher chez Camille Hanlet, où lui est accordée, dans l’introduction des Écrivains belges 1800-1946, une mention unique, mais qui permet peut-être de comprendre pourquoi cet écrivain nous aura échappé : « […] nous laissons volontairement de côté certains…