Lorsque l’on apprécie particulièrement l’univers d’un auteur, on est impatient et curieux à l’idée de découvrir son dernier opus. En même temps, on repousse la lecture de peur de le dévorer trop vite ou de devoir attendre la sortie du prochain. Nicolas Marchal fait partie de ceux-là, écrivains qui vous surprennent toujours. Chaque livre vient peaufiner un univers personnel où les surprises narratives voisinent avec la jubilation dans l’écriture. Après Le grand cerf publié en 2016 chez le même éditeur, dans la collection « Plumes du coq », Les faux Simenon confirme le talent de l’auteur.On retrouve avec beaucoup de plaisir les thèmes chers à Nicolas Marchal. La dilection qui est la sienne pour le livre et l’univers des bibliothèques, pour les figures de libraires,…
Pour son quatrième roman, Les faux Simenon, Nicolas Marchal nous revient avec une histoire colorée et faite de (personnages en) mosaïques. Loin des stéréotypes faciles, il tisse, avec humour et espièglerie, un récit de destins croisés dans le cœur de la Cité ardente où le réel côtoie la fiction et la fiction l’onirisme le plus envoûtant. Pour son quatrième roman, Les faux Simenon, Nicolas Marchal nous revient avec une histoire colorée et faite de (personnages en) mosaïques. Loin des stéréotypes faciles, il tisse, avec humour et espièglerie, un récit de destins croisés dans le cœur de la Cité ardente où le réel côtoie la fiction et la fiction l’onirisme le plus envoûtant. Attention à toi, lecteur ingénu : ceci n’est pas un livre sur Simenon ! Ceci est…