Née le 19 octobre 1947 à Spa
Licence - Agrégation en Philologie romane
Ecrivaine à part entière. Se partage entre l’écriture pour enfants et l’écriture pour adultes. Travaille fréquemment sur commande. Pratique également l’animation (création d’un personnage, d’une histoire ; ateliers d’écriture).
Le dernier roman d’Evelyne Wilwerth s’apparente au journal intime d’une jeune fille, Jacinthe, en mutation physiologique, en interrogation existentielle, de sept à vingt-cinq ans. À part le titre, qui fait écho à la chevelure sauvage de l’héroïne, tout aimé !
La couverture ! Un Spilliaert[1] (Les Pieux, 1910), en adéquation si complète avec le roman qu’on pourrait en induire une prescience du peintre ou, plus raisonnablement, l’irrigation d’une romancière empassionnée, un récit jaillissant de la contemplation de la toile.
Le style ! Qui pétille comme une coupe de champagne, ce breuvage qui emporte les suffrages de la narratrice (et de l’autrice). Conjuguant la naïveté et la lucidité contrastées de la jeunesse mais se teintant régulièrement…