Auteur de Allegretto quieto
Si les mots ne libèrent que l’ombreOù toujours je dépose mes pasJ’aurai marché sur un leurre bavard. Douceur et douleur, floraison et fenaison, ténuité et ténacité : ainsi s’articule le jardin de Véronique Wautier. Il faudrait presque imaginer ce jardin comme un coquillage bivalve, se tenant tout entier dans la main et contenant l’espérance. Il faudrait aussi l’imaginer aussi vaste que le silence qui était, pour Véronique Wautier, tantôt un sécateur et toutes les douleurs dedans, tantôt une respiration qui déborde, non, qui borde plutôt.Nu mon amourAvec quels autres motsVais-je habillerLe poème ? Dans Allegretto quieto, entre la mer et le ciel, entre le rouge et le bleu, entre…
Karoo a le plaisir de recenser le deuxième recueil de la poétesse bruxelloise Fanny Garin ; audacieuse…
Il était le poète du soudain. À ses yeux, sous ses doigts, ne valait que la sensation pure.…