Après une existence en noir et blanc, La fièvre d’Urbicande, le deuxième album des mythiques Cités obscures de François Schuiten et Benoît Peeters, couronné par le Prix du Meilleur album d’Angoulême en 1985, connaît une nouvelle vie. Une résurrection-recréation placée sous le signe de la couleur souverainement déployée par Jack Durieux. Après Les murailles de Samaris, un premier album en couleur qui révolutionna le langage de la bande dessinée, La fièvre d’Urbicande est sorti en noir et blanc alors qu’initialement il avait été conçu pour la couleur et qu’un tiers des planches de l’album ont été colorisées. Dès l’origine, la logique du mystérieux Réseau qui colonise Urbicande appelait…
Jean-Louis Massot a assurément le sens de la pertinence éditoriale. Après avoir accompagné Yves Budin dans…
Schuiten et Peeters : lettre à Bruxelles, la survivante
Un coup de cœur du Carnet François SCHUITEN , Benoît PEETERS , Bruxelles. Un rêve capital , Casterman, 2021, 128 p., 29…
Un guide ? Oui, un véritable guide de voyage, avec plus de 300 illustrations inédites…