Une voix d’enfant, une voix de femme. Deux histoires de métamorphose. Irrémédiablement accrochées l’une à l’autre, elles résonnent comme des contes et des chansons d’adolescence.Deux récits, l’un centré sur une petite fille puis une adolescente, l’autre sur une femme. Peut-être –sans doute–, le même personnage à différents moments de sa vie?Larmes de crocodiles évoque les relations de la petite fille avec sa mère. La…
Auteur de Larmes de crocodile
Fidéline Dujeu est poète, nouvelliste, romancière, animatrice d’ateliers d’écriture, écrivaine publique, co-fondatrice d’une maison d’édition artisanale. Elle est également thérapeute, « constellatrice ». Elle a été une petite fille naguère, et est aujourd’hui femme et mère. Et elle est encore bien d’autres contours et détours, mais ce sont ces dimensions apparentes qui nourrissent les deux textes publiés dans la collection « Plumes du Coq » chez Weyrich, rassemblés sous le titre Larmes de crocodile. « Deux livres en un. Deux traversées. Une métamorphose. »« Des mots contre des sanglots. / C’est un risque à prendre. / Les mots sont tranchants, peut-être rien ne sera plus comme avant. C’est…
Douze heures dans la vie d'un troll
Horloger depuis 170 ans à Port-Glacier, Snaeffel Snaeffelsson est accusé de l’assassinat d’un singe vendeur de sabliers. Il est en fait victime d’un complot lié à son passé de brigand et de protecteur du Skrin, un grimoire magique. Aidé de son ancien acolyte Ming et de sa femme Bodil, Snaeffel s’évade et cherche les moyens de s’innocenter. Roman fantastique classique, avec ses trolls à deux têtes, ses elfes éthérés et ses épées magique, Douze Heures dans la vie d’un troll joue aussi à fond, et avec bonheur, sur l’auto-dérision. Snaeffel « goubliné » en lémurien ne supporte pas son nez retroussé, le village suit une religion liée aux cheveux et aux poils, la mère du meurtrier est une affreuse mégère, etc, etc. Plus que tonique et très légèrement confuse, l’intrigue de type policier passe rapidement au second plan. On rit, et les douze heures…
Le journal d'Alice (T.3). Confidences sous l'érable
Salut cher Journal, Je brûle d’impatience de te raconter mon voyage à Ottawa avec ma meilleure amie ! Trop génial, même s’il a commencé d’une façon surprenante… Même si j’adore Astrid (ma mère – très chouette, mais a-t-elle déjà été adolescente ???), Marc le guépard (mon père), mes sœurs Caro et Zoé, sans oublier Grand-Cœur (le plus adorable des chats), il faut avouer…