Meurtres sans mémoire

À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-Baptiste Baronian

Auteur de Meurtres sans mémoire

Né le 29 avril 1942 à Anvers

Docteur en droit et bachelier en philosophie de l’Université de Louvain

J’essaye de me mettre entièrement au service de l’illustrateur, de répondre à ses goûts et son esthétique. De 1969 à 1976, directeur de collection puis directeur littéraire aux Ed. Marabout. Depuis 1977, activités éditoriales Livre de Poche, Librairie des Champs-Élysées, 10/18, Julliard, Fleuve Noir, etc.… Publications : une cinquantaine d’ouvrages (romans, nouvelles, essais, anthologies) sous son propre nom et une demi-douzaine de romans policiers sous le pseudonyme d’Alexandre Lous. Collabore au magazine Le Vif-l’Express et surtout au Magazine littéraire.



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Le grand-père de Flip et Flap leur a laissé une mystérieuse carte avant de disparaître. Les deux petits ratons laveurs décident de partir à la recherche du trésor dans la forêt et croisent de nombreux animaux sur leur chemin. Au terme de leur aventure, Flip et Flap sont heureux d'avoir rencontré plein de nouveaux amis, n'est-ce pas le plus beau trésor qu'on puisse espérer trouver ? Feuilleter un extrait Le grand-père de Flip et Flap est mort. Mais, avant de mourir, il leur a confié une carte au trésor. Les deux ratons laveurs n’hésitent pas : ils partent à la découverte du trésor, comme leur grand-père aventurier le faisait avant eux. Cependant, le parcours n’est pas facile : il faut affronter l’orage, ne pas céder à la tentation de raconter leur quête aux animaux rencontrés et réussir à suivre les bonnes pistes. Au passage, Flip et Flap vont aussi devoir aider nombre d’amis croisés en chemin. Les illustrations de cet album plongent immédiatement le lecteur dans l’histoire. En effet, toutes rondes, elles sont pleines de tons chaleureux, mettant bien en valeur la saison automnale du récit, et, réalisées au crayon, elles donnent une douceur qui offre à l’histoire un climat apaisant. Tout de suite, le lecteur ne peut alors que s’attacher aux deux compères et avoir envie de les suivre dans leur aventure. Pleine de rebondissements, celle-ci est truffée de bonnes surprises qui prônent les valeurs de l’amitié et de l’entraide. Puis, au dénouement, une autre lettre du grand-père est trouvée : il ne faut pas hésiter à voyager. Voilà un message très bien passé grâce à cette histoire et qui donnera très certainement envie aux jeunes lecteurs de partir explorer la forêt. On ne peut que souhaiter que les lecteurs fassent d’aussi…