Un travail qui nous relie : Utopie ou réalité? (actuellement indisponible)

RÉSUMÉ

La chanson l’annonce depuis longtemps : le travail, c’est la santé! Mais elle s’empresse d’ajouter que ne rien faire, c’est la conserver…Souvent décrit comme une source de reconnaissance sociale et d’un sentiment d’utilité ou de valorisation personnelle, le travail devient effectivement de plus en plus souvent synonyme de stress, de burn out, de désillusion, d’insatisfaction grandissante.Alors, comment réagir? Foncer, comme si de rien n’était, jusqu’à l’épuisement?…

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À PROPOS DES AUTEURS
Luc TEMPLIER

Auteur de Un travail qui nous relie : Utopie ou réalité? (actuellement indisponible)

Luc Templier est né à Corbeil (Esonne) en 1954. Licence et Maîtrise en "Arts plastiques et Sciences de l'Art" à l'Université Paris 1 - Sorbonne.Mise en scène de l'Atelier théâtre de la ville de Liège.Création d'une agence de publicité qu'il dirige de 1990 à 2002.Conservateur du "Musée de la Famenne" à Marche-en-Famenne depuis 2005.Multiples expositions en Belgique, France, Grèce...Il est chercheur en calligraphie et travaille sur la notion de "biographie imaginaire". Il se dit également "copiste", adepte de "l'archéologie contemporaine", lorsqu'il calligraphie des livres entiers sur des petits feuillets.Son travail est soutenu par de nombreuses expositions et des stages qu'il anime sur la "créativité et l'écriture".
Véronique Daine

Auteur de Un travail qui nous relie : Utopie ou réalité? (actuellement indisponible)

Née en 1964 à Arlon.Études secondaires à l'Athénée Royal d'Arlon. (Échecs dans les cours de français, nécessité de cours particuliers).Études universitaires de philologie romane à l'Université de Liège.Découvre à cette époque la pensée fragmentaire. Se sent terriblement «fragmentée», en morceaux. D'où l'écriture fragmentaire comme seule écriture possible. (Lecture passionnée + mémoire sur Pascal Quignard).Tardivement (vers la trentaine), la poésie se fait sentir comme un manque dans la vie. D'où, premières lectures réellement attentives de la poésie.En vrac : Rabindranath Tagore, Saint-John Perse, Eluard, Bonnefoy, Louis-René des Forêts, Jaccottet, Guillevic, Paz...  Puis les poètes belges : Colette Nys-Mazure qui lors d'un atelier d'écriture, et sans le savoir, amènera la confirmation qu'écrire, c'est le plus profond désir Christian Hubin, Guy Goffette, Liliane Wouters, Yves Namur, ... et surtout André Schmitz (particulièrement Lettres à l'Illetrée, Anise Koltz aussi. Et tant d'autres. Lentement la poésie s'imposera comme seule forme possible à une écriture qui s'est longtemps cherchée.Profession : professeur de français.(Signe particulier : montre la langue à ses élèves et pour les initier à la poésie, tague des vers sur les bancs des classes, clandestinement, une sorte d'immersion, en somme).Anime aussi des ateliers d'écriture

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