Visite au Prince d'Olzheim : Récit

À PROPOS DE L'AUTEUR
Pierre NOTHOMB

Auteur de Visite au Prince d'Olzheim : Récit

Naissance à Tournai en 1887. Son père est un neveu du célèbre homme d'État Jean-Baptiste Nothomb qui joua un rôle de premier plan dans le processus d'accession de la Belgique à l'indépendance.Excellentes humanités chez les Jésuites. Doctorat en droit à l'Université de Louvain. Stage d'avocat chez Me Henry Carton de Wiart, homme politique en vue et écrivain. Le jeune Nothomb écrit plus qu'il ne plaide: des poèmes, des contes, des essais. La première guerre mondiale lui fournit l'occasion de lutter par l'écriture: dans une série de volumes frémissants d'indignation, il défend avec une éloquence fougueuse la cause de la Belgique envahie et meurtrie.Cependant, il élabore des prises de position très nationalistes qu'il soutient avec ardeur pendant des années sans toutefois réussir à obtenir les succès électoraux dont il rêvait. Au début des années 30, il s'installe dans le domaine du Pont d'Oye à Habay-la-Neuve. En 1936, il devient sénateur de la province de Luxembourg après s'être rallié au Parti Catholique. Il garde cette fonction parlementaire pendant vingt-neuf ans.Dans les marges d'une activité dévorante d'homme public, il ne cesse d'écrire. Et c'est une profusion d'oeuvres diverses et vivaces où se donne libre cours une force créatrice peu commune. De cette force créatrice relève aussi son action d'animateur. Sous l'impulsion de cet admirateur de Maurice Barrès, le Pont d'Oye devient un lieu où soufflent les quatre vents de l'esprit. Vers la fin des années trente, il suscite à Habay-la-Neuve la bénédiction de la forêt qui a lieu au début de l'automne. Il est l'un des principaux fondateurs de l'Académie Luxembourgeoise dont il restera le prestigieux président pendant près de vingt ans.Il meurt en 1966 après une printanière vieillesse, semée d'oeuvres et d'actions. Conformément à ses volontés, Pierre Nothomb repose, entre l'étang et la sylve, sous une simple dalle de schiste, dans le domaine du Pont d'Oye. C'est aussi au Pont d'Oye que se trouve le siège social de la Fondation Pierre Nothomb. Quant aux archives de l'écrivain, c'est l'Université catholique de Louvain qui en a la garde.Pierre Nothomb fut membre de l'Académie Royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique.A l'occasion du centenaire de la naissance de l'écrivain, son nom a été donné à une place de Habay-la-Neuve.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Visite au Prince d'Olzheim : Récit"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Flip et Flap cherchent un trésor

Le grand-père de Flip et Flap leur a laissé une mystérieuse carte avant de disparaître. Les deux petits ratons laveurs décident de partir à la recherche du trésor dans la forêt et croisent de nombreux animaux sur leur chemin. Au terme de leur aventure, Flip et Flap sont heureux d'avoir rencontré plein de nouveaux amis, n'est-ce pas le plus beau trésor qu'on puisse espérer trouver ? Feuilleter un extrait Le grand-père de Flip et Flap est mort. Mais, avant de mourir, il leur a confié une carte au trésor. Les deux ratons laveurs n’hésitent pas : ils partent à la découverte du trésor, comme leur grand-père aventurier le faisait avant eux. Cependant, le parcours n’est pas facile : il faut affronter l’orage, ne pas céder à la tentation de raconter leur quête aux animaux rencontrés et réussir à suivre les bonnes pistes. Au passage, Flip et Flap vont aussi devoir aider nombre d’amis croisés en chemin. Les illustrations de cet album plongent immédiatement le lecteur dans l’histoire. En effet, toutes rondes, elles sont pleines de tons chaleureux, mettant bien en valeur la saison automnale du récit, et, réalisées au crayon, elles donnent une douceur qui offre à l’histoire un climat apaisant. Tout de suite, le lecteur ne peut alors que s’attacher aux deux compères et avoir envie de les suivre dans leur aventure. Pleine de rebondissements, celle-ci est truffée de bonnes surprises qui prônent les valeurs de l’amitié et de l’entraide. Puis, au dénouement, une autre lettre du grand-père est trouvée : il ne faut pas hésiter à voyager. Voilà un message très bien passé grâce à cette histoire et qui donnera très certainement envie aux jeunes lecteurs de partir explorer la forêt. On ne peut que souhaiter que les lecteurs fassent d’aussi…