Le chaton qui avait peur de tout

RÉSUMÉ

Fortunio le chaton est bien malheureux. Contrairement à son frère Charly, il n’ose pas sauter du toit ni escalader les poteaux… Il a peur de tout. Mais la chouette Minerva, le plus sage des animaux de la forêt, va lui poser les questions qui aident à réfléchir et à prendre confiance en soi pour dépasser ses peurs. Car seuls ceux qui affrontent leurs peurs sont vraiment courageux !

   lire la suite sur   Ricochet
À PROPOS DES AUTEURS
Eric Emmanuel Schmitt

Auteur de Le chaton qui avait peur de tout



Né dans la région lyonnaise d’un père d’origine alsacienne en 1960, Éric–Emmanuel Schmitt fait des études de lettres et de philosophie à l’École Normale Supérieure qu’il clôt avec une thèse sur Diderot qu’il publiera plus tard sous le titre Diderot ou la philosophie de la séduction. Il enseigne durant quelques années, jusqu’à ce que son succès au théâtre lui permette de se consacrer pleinement à l’écriture.

À la scène, ses débuts font sensation. La Nuit de Valogne (1991) est très bien accueillie, et Le Visiteur lui vaut en 1993 le Molière du meilleur auteur. Les comédiens les plus célèbres acceptent d’interpréter ses textes : Delon joue ses Variations énigmatiques en 1996, Giraudeau  son Libertin en 1997, Belmondo son Frédérick ou le boulevard du crime en 1998. Traduit en une trentaine de langues, il est le dramaturge français contemporain le plus joué dans le monde.

Même ses proses du  « Cycle de l’Invisible » sont portées à la scène. C’est ainsi que tour à tour Danielle Darrieux, Jacqueline Bir et Anny Duperey jouent Oscar et la dame rose. Et Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran est adapté au cinéma. Éric-Emmanuel Schmitt avait débuté dans le récit avec La Secte des égoïstes en 1994. Suivirent L’Évangile selon Pilate, roman devenu spectacle lui aussi, ainsi que La Part de l’autre, son roman le plus important à ce jour.

Depuis quelques années, Éric-Emmanuel Schmitt Schmitt habite Bruxelles. Ses pièces y sont très souvent programmées, il a même réservé la primeur de la plus récente d’entre elles à un théâtre bruxellois : le Public, qui avait déjà joué Petits crimes conjugaux quasi en même temps que le Théâtre Edouard VII à Paris, vient de créer mondialement sa Tectonique des sentiments. Michel Mayer, professeur à l’ULB, a consacré un essai à son œuvre.

Barbara Brun

Illustrateur de Le chaton qui avait peur de tout


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:peur - "Le chaton qui avait peur de tout"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16281 ) [domains] => Array ( [0] => 9534 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Quelle chatastrophe !

Un beau matin, Émile se réveille avec un chat dans la gorge : un vrai matou sans gêne, qui ne compte pas du tout s’en aller, et surtout, qui lui déforme certains mots. Émile ne peut plus prononcer les « ca » mais dit les « cha » : il ne mange plus du « caramel » mais du « charamel ». Impossible de se faire comprendre de son entourage ! Émile et son amie Madeleine vont tout faire pour le déloger Lire la suite Emile a un chat dans la gorge. Un vrai ! Tigré, pépère, douillet, il apprécie beaucoup sa nouvelle niche et n'a pas l'intention de partir. Mais Emile respire mal, et prononce certains mots en « chochotant » : le quotidien devient difficile. Madeleine, petite fille futée et meilleure amie d'Emile, prend alors le problème à bras le corps. Elle se documente à la bibliothèque, et teste : faire tousser ou se brosser les dents, proposer au chat un bon camembert, le faire jouer avec de la laine ou lui donner envie d'attraper une souris du grenier, etc. Pas bête, le félin ne bouge pas d'un poil. En désespoir de cause, Madeleine embrasse Emile sur la bouche. Youpi ! L'animal avait peur du noir, et s'est enfui. La collection « les zygomots » veut faire jouer avec la langue, et c'est ici réussi. Une expression prise au pied de la lettre, des déformations de mots avec le « ch », et enfin le CD qui propose à l'enfant le texte avec des blancs : on travaille ses méninges tout en s'amusant. Simple et unique, racontée au présent autour de trois personnages par un narrateur externe, l'intrigue se développe avec une construction bien rythmée. Plus anodines ou fades malgré leurs cadrages variés, les illustrations effectuent leur travail d'accompagnement dans de jolies couleurs rouges (mal de gorge ?). Le point fort vient effectivement du support audio aux nombreuses propositions, et de la voix piquante de Maureen : texte et chanson finale - « cha cha cha », évidemment - se teintent d'une fraîcheur spontanée très dynamique.…

Le monstre qui aimait les histoires

Qui va capturer Hector, le monstre vert aux allures…

Tu t’appelleras Lapin

L’univers de Marine Schneider se pelotonne dans un fantastique mystérieux.…