Liminaire l’ombre

À PROPOS DE L'AUTEUR
Harry SZPILMANN

Auteur de Liminaire l’ombre

Harry Szpilmann est né à Liège en 1980. Adolescence passée en internat aux portes des Ardennes. Licences à l'Université Libre de Bruxelles, en philosophie et en arts du spectacle. Ensuite de quoi il s'envole pour le Mexique, où il passera plusieurs années. À Querétaro, à San Luis Potosi, à Guanajuato. Officiant comme professeur de français, et s'initiant à l'écriture ainsi qu'à la photographie. De retour à Bruxelles, il travaille quelques années dans l'enseignement spécialisé. Avant de repartir à nouveau pour Mexico City, où il réside encore aujourd'hui, se consacrant essentiellement à l'écriture. Récemment, il a également séjourné à Berlin, New York, et Istanbul."Sable d'aphasie" (éditions Le Taillis Pré, 2011) Prix Émile Polak 2012 "Ces espaces à la base" (éditions Le Taillis Pré, 2014) "Les rudérales" (éditions Le Cormier, 2015) "Liminaire l'ombre" (éditions Le Taillis Pré, 2016) "Du vide réticulaire" (éditions Le Cormier, parution prévue en 2017) "Écarts, ou les esquives du désir" (éditions Le Taillis Pré, parution prévue en 2018)  "Genèses et magmas" (en cours de finalisation) Lauréat de la bourse SPES 2015 Publications en revues : Belgique : Langue Vive, Krautgarten, L’Arbre à Paroles, Bleu d’Encre, Le Journal des Poètes, Sources, Traversées, L'étrangère ; France : A Verse, Soleil et Cendres, Incertain Regard, Verso, Recours au Poème, Paysages écrits, Vericuetos, Passage d'encres, Phoenix, Ce qui reste, Arpa ; Canada : Mouvances ; Mexique : La Testadura (version bilingue).   Traduction (de l'espagnol) :  "Instructions pour tuer un cheval" de Manuel Becerra Salazar (éditions Generación Y)
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Le Carnet et les Instants

À la lecture de Liminaire l’ombre, me revient en tête une image, elle inaugure la scène première d’un western fabuleux, La prisonnière du désert. L’écran est d’abord noir puis quelqu’un, une femme, ouvre une porte et l’on devine que l’on était dans une cabane, et l’on voit ce que la femme voit, le monde lumineux des prairies, des ciels bleus, des espaces ouverts battus par les vents, et l’action peut commencer. Liminaire l’ombre n’a rien d’un western, bien sûr, et Harry Szpilmann n’a que faire de « mettre en scène » un héros à la John Wayne. Mais comme cette femme ouvrant littéralement une porte sur le monde, Harry Szpilmann et son livre se tiennent comme qui dirait au bord,…


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