L’innocence des bourreaux

À PROPOS DE L'AUTEUR
Barbara Abel

Auteur de L’innocence des bourreaux

Depuis toujours, Barbara Abel se passionne pour la littérature et le théâtre. À 15 ans, elle suit les cours de théâtre à l’académie d’Etterbeek, chez Bernard Marbaix, grand comédien belge et professeur émérite. Après avoir obtenu sa licence en Philologie romane à l’ULB, elle part pour Paris où elle écume les cours de théâtre et les castings. Après quelques figurations au cinéma, des spectacles de rue et un nombre hallucinant de petits boulots en tous genres, le cœur la rappelle à Bruxelles où elle s’installe avec son amoureux. Professionnellement, la galère recommence, qu’elle décide de vaincre en écrivant une pièce de théâtre : « L’esquimau qui jardinait ». Lasse de compter sur le désir des autres pour exister, elle monte la pièce avec son compagnon, Gérard Goffaux, aidés de Jacques Viala qui s’occupera de la mise en scène et de Danièla Bisconti qui lui donnera la réplique. La pièce est un succès public et sera jouée à la Samaritaine, au C.C. Jacques Franck et au festival de Spa. Ce qu’il ressort de l’aventure ? Un gout certain pour l’écrit à défaut de contrat dans le théâtre. Barbara Abel se lance pour de bon dans l’écriture : après tout, si jouer seule dans son salon n’a aucun intérêt, personne ne peut l’empêcher d’écrire. Elle rédige un premier roman de 800 pages, une brique pas vraiment publiable en l’état mais dont les qualités littéraires sont indéniables. Elle l’envoie partout, en France, en Belgique et même au Canada, essuie les refus dont certains l’encouragent toutefois à persévérer, s’accroche à ce conseil et persévère en effet. Bien lui en a pris car, après avoir rédigé divers petits textes qui seront publiés dans des revues littéraires, puis deux scénarios de court métrage, elle retente l’aventure du roman et se lance dans l’élaboration d’un « polar ». « L’instinct maternel » obtiendra le prix du festival de Cognac en 2002 et sera publié aux éditions du Masque, très vite suivi par d’autres romans policiers : « Un bel âge pour mourir », « Duelle » et enfin « La mort en écho ».  

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "L’innocence des bourreaux"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9548 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Avaler tout cru

Joppe se prépare un plan d’enfer : ses parents partent en vacances pour une semaine, il…

Le jour des premières fois. Croquettes & Cie

Quand Savanna arrive à l’école toute triste parce que son chien, Bestiole, est gravement malade, Mademoiselle Coline a une nouvelle fois une idée farfelue. L’institutrice propose d’installer le panier de Bestiole au pied du tableau noir et de lui offrir une convalescence digne de ce nom, entouré des élèves surexcités par la présence…