Princesse Pimprenelle se marie

RÉSUMÉ

Comme dans tout conte qui se respecte, l’heure du prince a sonné ! Mais Princesse Pimprenelle n’a que faire des prétendants qui défilent les uns après les autres… son cœur ne fait pas boum! malgré les remontrances de ses parents, impatients d’assurer la succession. Bref, elle s’ennuie ferme jusqu’au moment où la belle Aliénor apparaît sur son fier destrier. 
​Un album…

   lire la suite sur   Ricochet
À PROPOS DES AUTEURS
Brigitte Minne

Auteur de Princesse Pimprenelle se marie

Brigitte Minne a étudié la littérature et est maintenant auteur pour la jeunesse et pour les adolescents. Elle est également connue comme scénariste et producteur de programmes pour la télévision. Elle a publié de nombreux ouvrages.

Trui Chielens

Illustrateur de Princesse Pimprenelle se marie

Trui Chielens est une illustratrice et artiste belge. Elle a illustré divers journaux, magazines et livres pour enfants. 


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Princesse Pimprenelle se marie"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16280 ) [domains] => Array ( [0] => 9534 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Cirkus

Toute la poésie du cirque est contenue dans la réédition de Cirkus, d’Elisabeth Ivanovsky (1933)…

L'oie et son frère

Les travers des hommes vus par deux oies ! Ce recueil rassemble 45 histoires courtes, des histoires animalières et philosophiques pour jeunes adolescents.  Les récits ont pour cadre une ferme appartenant à une paysanne, où l’oie et son frère mènent une vie tranquille en compagnie de moutons, de dindons et d’un chien. Contrairement aux autres animaux qui prennent plutôt la vie comme elle vientLire la suite Comme Laurel et Hardy ou Sancho et Don Quichotte, Oie et son frère perpétuent la tradition du duo de choc et de charme. Ils raisonnent sur tout – la vie, la mort, les autres, le langage – et cela résonne en nous très joyeusement. Le chapitre inaugural de ce roman constitué de courtes saynètes commence par un dilemme. Quand on est une oie faut-il partir ou non à Vila do Bispo, au Portugal ? Pour quoi faire ? Ou plutôt rester à la ferme ? L’alternative illustrée par la perspective d’un « oignon dans le derrière » mérite d’y réfléchir. Le mouton, « petit tonneau poilu » « au goût de menthe » pourrait-il aider à trouver la réponse ? Car partir c’est être fidèle à sa famille, celle des oies migratrices ; rester, c’est être fidèle à ses amis, le dindon, le mouton, le chien. Finalement, ils vont partir, mais pas trop loin, dans le froid et l’inconfort. « Mourir c’est être couché à la dure », proclame l’un des chapitres mais à deux, on fait société et on se tient chaud ! Solidarité est un des mots-clés de ces histoires accompagnées de jeux sur la langue. L’oie blanche, la sœur, l’innocente, est angoissée, elle regarde le ciel, et se pose des questions sur « fini, plein, entier » ; elle s’interroge sur la forme des vols d’oies ; elle « claudique d’une pensée à l’autre » et on la voit se dandiner jusqu’à la souffrance. Il arrive aussi que son cœur « bamboume » par amour pour la fermière. Est-ce raisonnable ? Elle peut encore parler d’une voix « raboteuse » qui fait mal. Toute question d’identité lui est douloureuse, comme « pourquoi on mange de l’herbe ? ». L’auteur joue avec les expressions, registres de langage : « Si le clignement de ses yeux émettait un son, ça l’arrangerait. Sa sœur comprendrait tout de suite que sa question l’enquiquine. » Le silence lui-même engendre une comédie du langage : entre les deux oiseaux, aucune parole, et cela dure, dure, dure ! Les animaux s’inquiètent, le silence est insupportable, la tension enfle et s’achève en éclat de rire. Le lecteur doit décrypter des mystères. Par exemple, le rat est mort, tous se sentent un peu coupables. Ils anticipent la peine de la fermière. C’est elle qui lui a tendrement donné des bonbons roses en disant « viens mon petit rat, viens ! ». Doubles sens, sous-entendus, non-dits font tout le sel de la conversation entre animaux. Ils se rient des humains représentés par la fermière à petit chignon, croquée par Gerda Dendooven. Cette philosophie existentielle est désopilante et l’humour froid, volontaire ou non, des deux volatiles nous renvoie aux échanges de Vlad et Estragon dans En attendant Godot. Les adultes liront toutes les saynètes de Bart Moeyaert comme des préliminaires à d’autres lectures savantes. 45 historiettes et autant de raisons de réfléchir, rire, sourire, s’interroger, tour à tour ou tout ensemble grâce au pouvoir de l’écriture, un rire ou « un soupir de rien qui change le monde » (p.156). De supers moments de lecture pour…

La poésie est un jeu d'enfant

Les poésies de Maurice Carême n’ont pas pris une ride et sont encore aujourd’hui plébiscitées par les instituteurs. Le Hérisson ou Le Chat et le soleil - pour ne citer qu’elles - restent incontournables dans les classes de primaire. Cet ouvrage rassemble trente textes et offre au jeune lecteur une vision joyeuse et drôle de la poésie. Bruno Gibert propose des illustrations pleines de force et de fantaisie, et nous permet de redécouvrir l’oeuvre de ce poète immortel. Poète de l'enfance, de la nature, des animaux... Maurice Carême a laissé une œuvre qui enchante. Trente de ses textes sont réunis dans cet album illustré par Bruno Gibert. Les images de celui-ci sont à la fois joyeuses et élégantes, et rendent bien compte de la simplicité des histoires. Il offre son propre univers, imagine des compositions à partir de quelques éléments puisés dans les poèmes, pose des couleurs très franches, joue avec les formes, donne du mouvement, de la vie à toutes ces saynètes. Tout…